Au début du 19ème siècle, un jeune orphelin anglais surnommé Pip bénéficie d’un bienfaiteur anonyme qui lui offre une éducation tandis que lui continue de rêver à une belle mais égoïste jeune femme nommée Estella. S’il y a quelques scènes marquantes, des personnages bien campés et une puissante évocation de la vie dans les milieux populaires anglais vers 1820, l’ensemble m’a paru ne pas avoir très bien vieilli et constitué plus une succession de tableaux qu’une intrigue bien construite.