
La guerre civile espagnole fait rage. L’approvisionnement en armes provenant de la Russie soviétique se fait de plus en plus nécessaire. La marine franquiste décide d’envoyer une équipe dans la mer Egée pour attaquer les bateaux chargés d’armes. Un marin de la marine marchande, qui a la qualité importante de parler grec car sa mère était grec, est chargé d’une équipe cosmopolite de mercenaires et du dernier modèle des lance torpilles de la Kriegsmarine pour accomplir cette mission. Mais les espions républicains d’Istanbul sont aussi sur le coup. L’idée était bonne mais ici le rythme est trop lent, les péripéties trop répétitives et surtout trop prévisibles (et convenues). Il y a en outre une espèce de scepticisme moral avachi et facile qui est pénible.